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Ma cabane au CFA

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À Yvetot, les classe de BPA/TPA2 ont fait naitre un village de cabanes, ce qui a inspiré un réportage journalistique à certains de leur collègues. A feuilleter bien calé dans votre cabane.

Télécharger le reportage

Création

Autoportraits

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Pendant deux ans, les élèves de 3e et 4e du Lycée professionnel agricole de Mirande ont expérimenté l'expression artistique à la première personne. Ils nous offrent aujourd'hui le résultat sous la forme d'un très réussi "carnet de santé" publié
par RESEDA.



Le projet, mené sur deux ans avec des intervenants artistiques et leur professeure d'éducation socio-culturelle, s'est déroulé en deux temps :

- En 2014, les élèves faisaient (re)naître leur visage de l'argile : une
relation à la fois intime et distanciée à soi.
- Cette année, en prolongement, la classe de 4e écrivait une série de
courts textes autobiographiques où ils nous livrent généreusement leurs
âmes, leurs bonheurs et leurs tourments.

Quand se focaliser sur soi est un cadeau pour les autres, c'est le
résultat de ce projet mis en lumière dans ce carnet que vous pouvez
télécharger immédiatement.

Télécharger le carnet "Autoportraits"

RESEDA Estime de soi Création

Webradio lycéenne

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Un studio radio vient de se monter au LEGTA de la Lozère. À partir de maintenant, vous pourrez suivre À Contre Courant, leur rendez-vous (quasi) hebdomadaire.

Formés par Radio Larzac et accompagnés par leur prof d'ESC, Florent, Adrien, Cyril, Azaad et Bastien se réunissent chaque mercredi dans le studio construit dans le lycée pour créer 15 min d'émission. Au menu : des sujets « passion » tels que le ciné ou les mangas, et d'autres plus en lien avec leur cursus comme la rencontre des anciens. La suite s'écoute sur l'audio blog qui accueillera chaque semaine leur création, et ci-dessous pour une première émission, le « crash-test ».



Pour le sujet, merci à Sylvaine Couderq, prof d'ESC au LEGTA de la Lozère - Lycée Louis Pasteur

Radio Création

Carnet d'amour

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RESEDA nous offre un nouveau carnet de santé : "Un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, plus du tout !". Des lycéens de toute la France nous y parle d'amour, c'est beau, juste, émouvant. Et c'est pour vous.

Durant l’année scolaire 2014-2015,
le Réseau d’Éducation pour la Santé,
l’Écoute et le Développement de l’Adolescent
lance l’appel à projets « Un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, plus du tout »,
et invite les élèves, étudiants-es, stagiaires et apprentis-es de l’enseignement agricole, à s’exprimer sur les sentiments et les émotions en lien avec la rencontre et la relation amoureuse. Plusieurs équipes pédagogiques s’impliquent dans cette démarche et proposent, accompagnés par différents partenaires et intervenants, des approches variées pour permettre d’aborder avec les adolescents-es : la relation amoureuse, la relation à l’autre inhérente à la sexualité, les relations filles garçons, les premières fois, la gestion des émotions, la confiance en soi. Les textes et illustrations réunis dans ce carnet de santé témoignent de ces différentes expériences et projets d’expression.

Téléchargez le carnet

RESEDA Création

Le temps d'un conte

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Installez vous : on a quelques contes pour vous. D'abord une réflexion sur le temps à partager, et ensuite une succession de contes sur la tolérance offerte par les CAPA du CFA d'Yvetot.

A télécharger : les contes des CAPA


A lire tout de suite :

Le professeur et les cailloux

Un jour, un vieux professeur fut engagé pour faire une intervention sur la gestion du temps à l'occasion d'un  colloque international réunissant les plus brillants cerveaux d'entreprises du monde entier. Or, compte tenu de la richesse du nombre des intervenants, l'organisateur lui octroya seulement 15 minutes. Le vieux professeur hésita avant de répondre : " Quel message délivrer en 15 minutes ?" puis, après mûre réflexion, il accepta.
Le jour J est arrivé. Devant plus de 100 paires d'yeux tournés vers lui au centre de l'amphithéâtre, le vieux professeur, sans mot, commença par un regard circulaire à les regarder paisiblement et lentement puis il leur annonça : " Nous allons faire une expérience." Silence d'étonnement et de curiosité.
De son cartable en cuir, il sortit un bocal ressemblant à un bocal de chimiste se terminant par un goulot puis, avec un geste lent, il y plaça à l'intérieur, un par un, des cailloux gros comme des balles de tennis. Quand le bocal fut rempli de cailloux, il se tourna vers  sa nombreuse assistance et demanda : " Le bocal est-il plein ?"
Tous répondirent sans hésitation : " Oui" et il ajouta " Vraiment ?"
Alors, il replongea vers son cartable en cuir pour en extraire un sac de gravier qu'il versa dans le bocal jusqu'à ras bord. Et il demanda à nouveau : " Le bocal est-il plein ?"
Cette fois, la brillante assemblée ayant compris le sens de la démonstration répondit : " Probablement que non !" et il ajouta : " Bien !".
Puis, il y sortit de son cartable en cuir un sac de sable qu'il vida pour remplir le bocal et demanda : " Le bocal est-il plein ?" . "Non" répondirent en coeur tous les participants.
" Bien !" dit le vieux professeur avec un brin de malice. Il saisit alors la carafe d'eau posée sur la table de conférence et il versa l'eau jusqu'à ras bord du goulot dans le bocal.
Levant les yeux sur sa brillante assemblée, il posa la question : " Qu'est ce que j'ai voulu vous démontrer à travers cette expérience ?"
Parmi les chefs d'entreprise présents, l'un d'eux  ayant fait le lien avec le thème du jour " la gestion du temps" leva la main et répondit : " Oui, je crois avoir compris votre démonstration. Vous venez de nous démontrer que, même si notre emploi du temps parait déjà très plein , nous pouvons encore essayer de le remplir encore, comme avec le gravier, le sable et l'eau   pour être plus performants."
Avec un doux regard malicieux, notre vieux professeur se contenta de dire : " Ce n'est pas ce que j'ai voulu démontrer. Alors, qu'est ce que j'ai démontré ? Voulez vous le savoir ?"
Grand silence dans toutes les rangées de l'amphithéâtre, chacun ayant l'impatience de connaître enfin le pourquoi de cette étrange expérience.
" Ce que j'ai voulu vous démontrer, c'est que, si je n'avais pas plaçé les gros cailloux d'abord, jamais je n'aurais pu tous les mettre dans le bocal".
Devant l'évidence de cette réalité, se fit un profond silence dans la salle.
Et le vieux professeur de conclure :
" Et vous, dans votre vie, quels sont vos gros cailloux ? Votre entreprise, votre famille, réaliser vos rêves ou encore autre chose ? Et que faites vous de vos gros cailloux sur votre agenda ? "
Et sous un tonnerre d'applaudissement, le vieux professeur quitta la salle en se contentant de lever une main de remerciement.

Extrait du site : http://mister-aidant.over-blog.com/article-les-gros-cailloux-48202852.html

Création Citoyenneté

Festival Agro'zikos à Carcassonne

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En mai dernier, les lycéens de tout le Languedoc s'étaient réunis à Carcassonne pour faire la démonstration de leurs talents musicaux. EnVie Scolaire y était. Retour en image :


Festival Agro'zykos à Carcassonne par supagroflorac

Vidéo Création Musique

Batmen : mi-acrobates, mi-chauve-souris

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L'année dernière, les élèves du Lycée agricole de Rethel recevaient le prix de l'audace artistique et culturelle des mains du président de la République. Rencontre avec Justine qui nous parle de ce projet européen qui mêle arts du cirque et protection de l'environnement.

Comment est arrivé le sujet de la chauve-souris ?
Le Lycée travaille depuis longtemps avec deux artistes : André Mandarinot et Sibille Planques. Dans leur propre compagnie ils étaient en train de travailler sur la chauve-souris. Ça s'est fait un petit peu comme ça : on voulait nous aussi montrer la chauve-souris. Elle a toujours été représentée comme Dracula, qui représente le mal. On voulait la préserver parce qu'elle est un peu en voie d'extinction.
Comment s'est fait le choix d'un spectacle de cirque ?
Ça permettait de voir une autre image de la chauve-souris. De permettre de nous, les humains, se mettre un peu dans leur corps, leurs attitudes, leur mode de vie. C'est comme ça qu'on a voulu faire avec les arts du cirque.
Comment apprend-on à devenir un artiste circassien et une chauve-souris ?
Nous, on a été dans les grottes voir comment se comportaient les chauve-souris à la lumière, au bruit … à plein de choses. Et on voyait que si on mettait un petit peu de lumière dessus elles commençaient à bouger un petit peu, à se blottir dans leurs ailes. A partir de ces gestes, nous, on a essayé de le remettre en scène sur nous, avec nos bras par exemple, notre gestuelle à nous, êtres humains.
Combien de temps a duré la préparation ?
Ça a duré deux ans. On était en projet Erasmus+ avec des Turcs et des Roumains. On est partis une semaine en Turquie puis en terminale on est partis en Roumanie. Eux n'avaient jamais vraiment fait de cirque à proprement parler donc il fallait mettre quelques bases pour le trapèze, le tissu, pour avoir des bases et de la sécurité. Les Roumains et les Turcs sont aussi venus pendant deux semaines en France pour commencer à mettre en place le spectacle.
C'est vous qui appreniez la technique aux jeunes ?
Avec André Mandarinot et Sibille Planques qui sont venus avec nous en Turquie et en Roumanie. Nous, en tant qu'élèves, on essayait quand même de leur apprendre, de leur expliquer en leur montrant par exemple sur les trapèzes pour qu'ils voient, qu'ils assimilent un petit peu mieux. Nous, on avait une certaine méthode et André avait une autre méthode et expliquait différemment. Donc expliquer plusieurs fois ça leur permettait d'apprendre et d'analyser mieux comment faire.
Et comment vous faisiez pour la langue ?
On parlait en anglais. Ça nous a aidé pour notre anglais, ça nous a perfectionné. Et certains Roumains parlaient bien français, on a fait des échanges français/anglais pour apprendre à tout le monde. Les élèves roumains avaient une professeure de français qui leur traduisait en roumain s'ils ne comprenaient pas.
Qu'est ce que ça vous a appris d'aller travailler avec eux en Turquie, en Roumanie ?
Déjà ce n'est pas du tout la même culture, c'est très différent dans leurs pays. On voit que c'est un petit peu plus pauvre en Roumanie par exemple. Donc c'est vrai que ça nous a appris beaucoup de choses. Ça nous a permis de découvrir des autres personnes qui étaient vraiment très bien. Et d'apprendre sur la culture, les aliments… c'était pas mal à voir.
Vous avez présenté le spectacle en public ?
Oui : d'abord pour les élèves, pour qu'on s’entraîne. C'était comme une première mais avec les élèves du lycée. Et puis une deuxième représentation avec tous les parents, les enseignants et les personnels du lycée. Et la troisième c'était pour ceux qui nous ont aidé à monter le projet Erasmus+ : leur montrer à quoi nous avait servi ce projet.
Le spectacle c'était avec des jeunes de tous les pays ?
Oui, on était trente-cinq élèves de trois nationalités.
Vous n'êtes pas partis en tournée après ?
C'est vrai que pour nous, trois représentations ce n'est pas assez. On a toujours envie de vouloir en montrer plus. Par exemple d'aller les montrer en Turquie ou en Roumanie. Les élèves roumains et turcs n'ont pas pu montrer à leurs proches ce qu'ils faisaient sur scène. Ils n'en font pas tous les jours donc c'est vrai qu'ils auraient aimé le montrer dans leur pays à eux.
Vous avez reçu le prix de l'audace artistique et culture, décerné à l'Elysée devant le président. Comment ça s'est passé ?
C'est vraiment impressionnant, déjà de rentrer à l'Elysée. C'était très bien. On nous posait quelques questions, après il y a eu le discours du Président et d'autres personnalités. Puis on nous a attribué le prix. On a fait un petit discours en remerciant tous ceux qui avaient pu nous aider pour ce projet là.
Et aujourd'hui tu as des projets semblables ?
Moi je voulais rentrer dans une école de cirque mais on m'a dit que c'était un petit peu dur. Du coup je suis rentré dans une école de sport. Il y a un petit peu cirque à l'intérieur, moi c'est ce que j'aime bien. Si je peux continuer dedans ça serait très bien.
En conclusion, un moment fort que tu retiens de ces deux années passées ?
Rencontrer des autres cultures et des personnes qui sont complètement différents de nous. Ça nous a appris des choses sur nous-même, des choses sur eux et ça c'était une belle rencontre.

Découvrez leur vidéo :

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